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Gaslighting
The film follows a successful young marketing executive, who after moving in with her charming photographer boyfriend is in danger of losing everything, as she becomes increasingly unsure of her ability to trust her own memory.
Duration: 20 min
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Excursus – le genre: L’intersectionnalité
Pour aller plus loin…
Veuillez regarder la vidéo (uniquement disponible en anglais) et prendre des notes sur les éléments suivants:
(1) Citez quelques exemples d’intersectionnalité.
(2) De quelle manière avez-vous observé ou vécu des privilèges ou des discriminations fondés sur l’intersection de vos propres catégories sociales
(3) Réfléchissez à la manière dont l’intersectionnalité peut affecter l’accès aux opportunités, aux ressources et à la représentation dans divers domaines ou contextes (par exemple, l’éducation, l’emploi, les médias, le secteur de la santé).
(4) Avez-vous déjà été témoin d’une situation où une personne était victime de discrimination en raison de l’intersection de ses différentes catégories? Comment avez-vous réagi et qu’auriez-vous pu faire différemment?
Formes de violences les plus répandues dans le cadre des violences intrafamiliales: Contrôle coercitif
Formes spécifiques de violence dans le cadre des violences intrafamiliales: Mutilation Génitale Féminine (FGM)
Victimes de violences intrafamiliales
Personnes souffrant d’un handicap, d’une déficience ou d’une maladie mentale
Les auteurs de violences intrafamiliales
La communauté LGBTIQ+
Pour aller plus loin…
(1) Pourquoi les personnes LGBTIQ+ sont-elles parmi les groupes les plus vulnérables face aux violences intrafamiliales?
(2) Réfléchissez aux barrières qui peuvent exister pour accéder au soutien des victimes de VIF dans le secteur de la santé.
Illustrations-bandes dessinées
Série de bandes dessinées IMPROVE: Comment reconnaître la violence domestique
Bande dessinée 1: Contrôle coercitif
Bande dessinée 2: Traque
Bande dessinée 3: Violence psychologique
Bande dessinée 4: Violence sociale
Bande dessinée 5: Violence sexuelle
Bande dessinée 6: Négligence
Bande dessinée 7: Violence économique
Bande dessinée 8: Gaslighting
Bande dessinée 9: Violence physique
Bande dessinée 10: Violence numérique
Bande dessinée 11: Violence verbale
Études de cas
Etude de cas: Maltraitance à l’encontre des séniors
Winnie, âgée de 69 ans, vit seule dans une petite ville de campagne. Elle est votre patiente depuis plusieurs années. Elle souffre d’arthrite sévère et nécessite de plus en plus d’aide pour les activités de la vie quotidienne. Même avec des visites régulières des services d’aide aux personnes âgées, elle a du mal à s’en sortir, mais elle refuse catégoriquement d’aller à l’hôpital régional.
Finalement, elle emménage avec sa fille, son mari et leurs jeunes fils. Les voisins commencent à se plaindre du bruit. Depuis que Winnie a emménagé, il n’y a pas beaucoup d’espace dans la maison et les enfants se disputent plus souvent, crient et jouent dehors plus souvent. La fille de Winnie ne reçoit aucune aide de ses sœurs et est censée faire face à l’augmentation des tâches de lavage, de cuisine sans se plaindre.
Lors de vos visites à domicile chez Winnie, vous remarquez qu’elle a des marques et des ecchymoses sur les bras et le haut du torse. Sa fille prétend qu’elle devient plus maladroite et qu’elle se cogne sans cesse. De plus, Winnie prend des anticoagulants. Winnie secoue simplement la tête et ne dit rien quand vous lui demandez si tout va bien à la maison, même lorsque vous lui parlez en privé. Vous n’êtes pas sûr de vouloir insister sur ce point car vous ne voulez pas contrarier qui que ce soit en lançant une fausse alerte.
Adaptation d’une étude de cas de la RACGP (2014): Maltraitance et Violence: Travailler avec nos patients en médecine générale.
Pour aller plus loin…
Réflexion autour de cette étude de cas:
(1) Que feriez-vous dans cette situation si vous étiez le médecin de Winnie?
(2) Quels sont les principaux facteurs de risque de violences intrafamiliales pour Winnie?
Etude de cas: Lorsque la victime est un homme
16h34 – Dispute dans le parking d’un centre commercial
On entend Mme E. pousser un cri lorsque sa tête heurte le toit de la voiture au-dessus de la portière du conducteur. Les passants remarquent alors une violente dispute et une bagarre en cours entre l’homme et la femme. Lorsque le couple monte dans la voiture, une conductrice les bloque avec son véhicule. L’homme, M. E., prend alors la fuite.
16h37 – Appel au numéro d’ urgence
L’un des passants, témoin de la scène, appelle la police.
16h50 – La police arrive sur les lieux
La déclaration de Mme E. et des témoins ne permet pas de clarifier exactement ce qui s’est passé. Les témoins affirment avoir vu M. E. se comporter de manière violente envers Mme E.. CEPENDANT, Mme. E. déclare qu’il se sont simplement disputés, après quoi elle est montée frénétiquement dans la voiture et s’est cogné la tête. Selon ses dires, ils ont continué à se battre à l’intérieur et ont voulu rentrer chez eux mais en ont été empêchés. D’après elle, M. E. s’est probablement enfui par pure panique, effrayé par les violentes attaques verbales des passants
Les policiers ont pris note des déclarations et des coordonnées des témoins ainsi que de Mme E. Au cours de cette procédure, des questions sont également posées à Mme E. afin d’évaluer le risque d’une nouvelle agression. Mme E. refus ensuite tout examen médical. Elle est toutefois informée de la possibilité de faire constater sa blessure dans un service ambulatoire de protection contre la violence dans les jours qui suivent, de manière légale, gratuite et, si nécessaire, anonyme. Après avoir été informée de ses droits en tant que victime, l’un des deux policiers aborde, avec prudence, la question des violences intrafamiliales et lui explique qu’elle peut avoir des conseils spécialisés et qu’il existe une approche proactive dans ce domaine. Mme E. écoute ces suggestions et l’explication des options de protection policière (ordonnance de protection judiciaire selon la loi de protection contre la violence, prise en compte des personnes en danger, expulsion, hébergement dans un centre d’accueil pour femmes), mais maintient que tout allait bien à la maison. Elle refuse toute assistance et ne veut pas de la brochure d’information qui lui est proposée. L’ensemble des circonstances indiquant un cas de violences intrafamiliales, les policiers informe Mme E. qu’une enquête va être ouverte contre son mari pour coups et blessures. Ils lui remettent également un dépliant de protection des victimes avec le numéro de dossier de la police.
Mme E. rentre finalement chez elle, seule, en utilisant les transports en commun en raison de sa blessure à la tête.
19h14 – Appel au numéro d’urgence
Les voisins de Mme E. et M.E appelle ce numéro car ils ont entendu des bruits inquiétants provenant de l’appartement du couple.
19h35 – Intervention de la police dans l’appartement du couple E.
Deux voitures de police arrivent à l’adresse du couple, puisque l’opération de l’après-midi et l’adresse du couple E. ont déjà été enregistrées dans la base de données de la police. Les agents supposent qu’il peut s’agir d’un autre incident de violence domestique. L’équipe de police qui pénètre dans l’appartement constate immédiatement que le couple et la mère de Mme E. sont en état d’ébriété. Interrogées séparément, les trois parties banalisent l’incident et précisent qu’elles sont contrariées que M. E. se soit enfui dans l’après-midi, laissant sa femme seule avec la police et une blessure à la tête. Comme M. E. et la mère de Mme E. ne présentent aucune blessure visible et qu’il n’y a aucune indication concrète d’une infraction pénale, les personnes présentes sont invitées à rester calmes et sont informées que si la police est à nouveau appelée, un rapport d’infraction administrative sera établi pour tapage nocturne.
21h44 – Autre appel d’urgence
De nouveau, un appel d’urgence des voisins pour trouble à l’ordre public. Les mots des voisins sont précisément: « Les choses s’animent vraiment à côté. Je pense qu’ils ont encore un problème. »
22h10 – Intervention de la police au domicile du couple E.
Comme on soupçonne qu’il s’agit d’un cas de violence domestique, deux voitures de police arrivent à nouveau. Parmi elles se trouvent des policiers qui étaient précédemment intervenus dans l’appartement de la famille E. Ils constatent que le degré d’intoxication alcoolique du couple E. ainsi que de la mère de Mme E. semble être beaucoup plus élevé que lors de la visite précédente. De plus, toutes les personnes sur les lieux présentent des traces de sang, des blessures aux mains, aux bras et au visage. Les blessures de M. E. sont particulièrement graves.
Une fois de plus, les trois personnes sont entendues séparément. Mme E. et sa mère déclarent que M. E. a commencé à devenir violent envers elles et qu’elles ont dû se défendre.
M. E. s’effondre en pleurs devant un agent et dit qu’il ne pouvait plus supporter la violence de sa femme et de sa belle-mère, qui dure depuis des années, et qu’il ne savait plus quoi faire ce soir-là à part devenir violent lui aussi. Malgré son état d’ivresse avancé, M. E. semble crédible et fournit des informations concluantes sur le crime et la violence subie jusqu’à présent.
Mme E. et sa mère sont confrontées aux informations fournies par M. E., à la suite de quoi elles réagissent verbalement de manière très agressive et veulent toutes deux attaquer M. E. pour «lui montrer ce que cela signifie de répandre de tels mensonges à leur sujet». D’autres agressions violentes contre M. E. sont évitées grâce à l’intervention des forces de police présentes.
M. E. veut quitter l’appartement et ne peut être hébergé que dans un refuge pour sans-abri en raison de l’absence d’un centre d’accueil dédié aux hommes victimes de violences intrafamiliales. Il souhaite contacter un centre de conseil pour hommes victimes de violence domestique dès le lendemain et faire constater ses blessures dans une clinique de protection contre la violence en consultation externe. Contrairement à Mme E. et à sa mère, il accepte un traitement médical immédiat de ses blessures. Pour soigner ses blessures, M. E. est transporté à l’hôpital le plus proche par une ambulance. De là, il se rend seul au refuge d’urgence. Une fois encore, les deux femmes réaffirment qu’elles n’ont fait que «se défendre» contre les attaques de M. E. En conséquence, la police estime très probable que M. E. soit à nouveau victime d’agressions violentes de la part de sa femme et de la mère de celle-ci.
Dans les jours et semaines suivantes
Au cours de l’enquête, les témoins de la première dispute sur le parking et un voisin de la famille E. sont interrogés par la police. M. E. fait une longue déclaration à la police, dans laquelle il décrit à nouveau l’évolution et l’augmentation successive de la violence à son encontre, ainsi que sa crainte que quelqu’un découvre qu’il est victime de violence dans son couple.
Le rapport médico-légal de la clinique de protection contre la violence en consultation externe est également joint à l’enquête et confirme le déroulement des faits tel que décrit par M. E.. Mme E. et sa mère ne font que des déclarations concernant les accusations pénale de violence contre M. E. Ce faisant, elles s’en tiennent à leur version initiale selon laquelle M. E. a provoqué l’escalade de la violence, mais s’empêtrent dans des contradictions qui sont consignées dans le rapport. En ce qui concerne leur accusation de coups et blessures graves contre M. E., elles font toutes deux usage de leur droit de refuser de témoigner.
M. E. demande conseil auprès d’un centre de consultation dédié aux hommes victimes de violence intrafamiliales. Il se voit accorder l’usage exclusif du domicile conjugal.
Au bout de quatre semaines, l’enquête de police s’achève sur le fait que M. E. a apparemment été victime de violences de la part de sa femme et de la mère de celle-ci pendant des années. Les deux incidents sont transmis au département spécial pour les cas de violences intrafamiliales du bureau du procureur pour une décision ultérieure.
Pour aller plus loin…
(1) Examinez vos propres attitudes et croyances concernant les hommes victimes de violences intrafamiliales. Réfléchissez à tout préjugé que vous pourriez avoir et envisagez des moyens d’être plus solidaire et empathique envers les victimes de VIF.
(2) Analysez les normes culturelles et les croyances entourant la masculinité et comment celles-ci peuvent dissuader les hommes victimes de signaler les VIF ou de chercher de l’aide. Réfléchissez aux moyens de remettre en question et de redéfinir les stéréotypes sexistes néfastes qui peuvent entraver le soutien aux victimes masculines.
(3) Examiner l’intersection d’autres identités telles que la race, l’origine ethnique, l’orientation sexuelle et le statut socio-économique avec la victimisation masculine.
Etude de cas: Victime issue de l’immigration
Nora est une femme de 34 ans issue de l’immigration. Elle vit ici dans votre pays depuis trois ans avec ses parents et ses sœurs. Nora a épousé Pierre il y a deux ans. Pierre est le fils d’un ami de la famille des parents de Nora. La famille de Nora est issue d’une culture patriarcale où la communauté passe avant l’individu.
Le mariage de Nora et Pierre a été un soulagement pour la famille de Nora car, dans leur culture, une femme de l’âge de Nora ne devrait pas être célibataire. Cependant, peu de temps après le mariage, Pierre a commencé à contrôler le comportement quotidien de Nora. il ne laisse pas Nora voir ses amis ou aller quelque part sans lui. Le cours obligatoire de langue est le seul endroit où Nora peut se rendre seule.
Pierre confisque la carte de débit de Nora et contracte des emprunts à son nom. Lorsque Nora tente de résister, Pierre devient violent et abuse d’elle. Pierre menace de renvoyer Nora dans son pays d’origine.
Nora révèle la situation à ses parents et leur demande de l’aide. Dans un premier temps, les parents prennent au sérieux le comportement violent de Pierre, mais le père de Nora décède soudainement. La mère de Nora, en deuil, n’est pas capable de s’opposer seule à la volonté de son gendre.
En même temps, Pierre répand des rumeurs sur l’immoralité de Nora afin de justifier ses actions violentes auprès de la communauté. Ces rumeurs humilient la famille de Nora. La communauté fait pression sur la mère de Nora et les familles de ses sœurs pour qu’elles rétablissent leur réputation.
La mère de Nora supplie Nora de rester avec son mari pour calmer la situation, et ses sœurs lui demandent de ne plus déranger leur mère avec ce problème. Nora se sent responsable de la violence et de la réputation de sa famille, et convient qu’il n’est pas possible de divorcer de Pierre.
Au fil du temps, la violence s’aggrave et devient plus fréquente. Un jour, Pierre étrangle Nora si longtemps qu’elle perd connaissance. Après l’étranglement, elle commence à avoir des problèmes d’élocution, surtout dans les situations stressantes. Nora se sent isolée, impuissante et déprimée.
Pierre a menacé de rendre publiques des photos privées de Nora si celle-ci « ruinait sa réputation de mari », comme il le dit lui-même. Nora est anxieuse car elle ne peut parler de ses sentiments à personne, pas même à sa famille.
Pour aller plus loin…
C’était l’histoire de Nora. Réfléchissez maintenant à ces questions:
(1) Quels types de VIF Nora subit-elle?
(2) Quels actes, situations ou conditions mettent Nora en danger?
(3) Quelles sont les situations que vous considérez comme regrettables, mais qui ne relèvent pas de votre activité en tant que primo-intervenant?
Etude de cas: Les violences intrafamiliales et leur impact négatif sur les enfants
Gabby a épousé son mari Nick après une longue relation de concubinage et s’est installée peu après dans la ferme familiale de son mari. Le couple était heureux à la ferme et a bientôt eu leur premier enfant. Pendant la grossesse, le comportement de Nick a commencé à changer et, à la naissance de leur fille, leur relation n’était plus la même qu’au début. Nick semblait renfermé et passait de longsmoments seul. Gabby a commencé à entrevoir, dans le comportement de Nick, le caractère de son beau-père, qui avait toujours été assez sévère à l’encontre de Nick.
Nick est devenu menaçant et contrôlant, en particulier en ce qui concerne l’argent et les contacts sociaux. Il est devenu de plus en plus agressif dans les disputes, il criait souvent et lancait des objets dans la pièce. Gabby pensait que, comme il ne la blessait pas physiquement, son comportement ne relevait pas de la maltraitance. Par ailleurs, Nick ne montrait pas beaucoup d’intérêt pour leur fille Jane, sauf en public, où il apparaissait comme un père adorable et aimant.
Jane était généralement une enfant bien élevée, mais Gabby s’est aperçue qu’elle ne pouvait pas la laisser seule avec quelqu’un. Jane pleurait et devenait visiblement angoissée lorsque Gabby la confiait à quelqu’un d’autre pour s’occuper d’elle. Cette situation était stressante pour Gabby et avaient un impact limitant sur ses activités sociales.
Jane a mis beaucoup de temps à ramper, marcher et commencer à parler. Ses habitudes de sommeil étaient perturbées, et bien souvent, Gabby ne dormait pas toute la nuit, même quand Jane a dépassé ses douze mois. Quand Jane a commencé à parler, elle a commencé à bégayer, ce qui a encore entravé le développement de son langage. Gabby s’inquiétait beaucoup pour Jane. Leur médecin de famille lui a dit que cela était normal pour certains enfants et que, si les problèmes d’élocution persistaient, elle pourrait toujours envoyer Jane chez un spécialiste plus tard.
Après un certain nombre d’années, le comportement de Nick est devenu intolérable pour Gabby. Pendant les disputes, il brandissait le fusil qu’il utilisait à des fins agricoles, ce que Gabby trouvait très menaçant. À plusieurs reprises, des objets lancés par Nick ont frappé Gabby, qui a eu de plus en plus peur pour leur fille. Gabby a décidé de partir et a consulté les services locaux dédiés aux femmes qui l’ont aidée à obtenir une ordonnance de protection contre Nick.
Une fois que Gabby a pu éloigner Jane de Nick, le comportement de celle-ci a changé. Le développement de Jane semblait progresser et Gabby ne comprenait pas pourquoi. Dans le cadre de sa consultation auprès d’un service local pour femmes, elle a abordé cette question et son conseiller a reconnu que le retard de développement, le bégaiement, l’irritation et l’anxiété de séparation étaient des effets de la situation de violence dans laquelle se trouvait Jane auparavant.
Cela peut être considéré comme une occasion manquée d’identifier la violence intrafamiliale. Si le médecin de famille avait interrogé Gabby ou Nick (qui s’était présenté avec des douleurs au dos chroniques) sur leur relation, sur ce qui se passait dans la famille, et spécificiquement à propos de Jane, la situation aurait pu être identifiée beaucoup plus tôt.
Pour aller plus loin…
(1) Que pourrait-on améliorer dans l’intervention des personnes impliquées?
(2) Réfléchissez aux agences/services et aux professionnels qui auraient dû être impliqués dès le début pour soutenir et/ou fournir des services à Gabby.
Adaptation d’un étude de cas du RACGP (Royal Australian College of General Practitioners – 2014): Maltraitance et Violence: Travailler avec nos patients en médecine générale.
Fiches d’information
Évaluation des connaissances: Examen final
Examen final à utiliser pour l’évaluation des connaissances après avoir terminé le module 1.
Travail à faire:
Regardez la vidéo et répondez aux questions suivantes:
(1) Identifiez et décrivez toutes les formes de violence domestique présentées dans la vidéo et expliquez comment la victime a vécu chaque type de violence.
(2) Donnez des exemples du « cycle de la violence » qui sont évidents dans la vidéo.
(3) Identifiez les raisons présentées dans la vidéo pour lesquelles la victime n’a pas pu se soustraire à la violence.
Matériel de formation complémentaire
Evaluation des connaissances – Formes et dynamiques des violences intrafamiliales :
Evaluation des connaissances – Violence basée sur le genre :